Anne-Lise Mabire

Anne-Lise mabireLa Poche à Violons
Luthière violons

17 rue Jacques Cartier
85000 La Roche sur Yon
Tél. : 02 49 85 21 12
Email : lapocheaviolons[a]gmail.com
Site internet : www.lapocheaviolons.fr

Les activités de l’entreprise :

  • Location d’instruments (violon – alto – violoncelle)
  • Réparation, entretien et vente d’instruments anciens (violon – alto – violoncelle)
  • Fabrication de boites à musique
  • Recyclage de violons
  • Vente d’archets, d’étuis et d’accessoires indispensables au musicien

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Ce qui a motivé mon orientation professionnelle :

Pendant mon année de terminale, comme pour tous mes condisciples, il a fallu que je choisisse mon orientation. C’est-à-dire, choisir à quoi je passerais la majorité de mon temps pour les 40 prochaines années… Vaste question ! J’étais une élève douée, et attirée par le monde de la biologie médicale, j’ai rencontré un chercheur. Au fil de cette rencontre, j’ai compris que travailler dans le monde de la recherche scientifique me laisserait trop peu de temps pour me consacrer à mes passions. Passionnée de musique depuis l’enfance, et multipliant les activités manuelles (peinture, dentelle, couture, bricolage,…), je me suis alors tournée vers la lutherie. Mon premier stage d’une semaine chez un luthier a entériné ma décision : j’allais passer le concours d’entrée de l’école de Lutherie de Mirecourt (Vosges).

Mon parcours professionnel :

Après l’obtention de mon baccalauréat scientifique, j’ai intégré l’école de Lutherie de Mirecourt. Trois ans de formation, et de nombreux stages pour nous plonger dans la réalité du métier. Diplôme en poche, j’ai été embauchée par un des nombreux ateliers de la rue de Rome (Paris)… ce qui a failli me dégoûter du métier. Où était passé le goût du travail bien fait ? La recherche des belles courbes ? Tout sacrifier pour que le patron fasse tourner son atelier en vendant des instruments chinois mal préparés ?! J’ai donné ma démission pour rester fidèle à mes principes. Grâce au savoir-faire transmis lors des stages effectués pendant ma formation, j’ai pu m’installer rapidement à mon compte. Aujourd’hui, je continue à me former par des stages. Et j’améliore aussi mes techniques en échangeant avec d’autres artisans d’art, qu’ils soient ou non luthiers !